Fin du périple à Bingin pour enfin se reposer et surfer
Jeudi, je me lève assez tôt histoire de partir au plus vite de cette ville dégueulasse. Je décide de tout de même faire un tour, afin de voir la plage et ses alentours.
Rien de bien intéressant de jour non plus. Il est environ midi et je peux m’en aller pour Bingin.
Bingin, un petit paradis pour terminer en beauté mon périple
Une fois arrivé à Bingin, je me trouve un petit hôtel pour me mettre bien : une belle petite piscine et enfin une chambre privative !
Je ne suis pas loin de la plage, il ne me reste plus qu’à y aller. Une fois au bord de la mer, je m’assieds et contemple la vue. L’ambiance représente exactement ce que je recherchais pour ces deux derniers jours de voyage : la plage, le surf, la tranquillité. Un sentiment de bien-être et d’accomplissement s’empare de moi. Il est temps de tirer un bilan plus que positif de ce voyage. D’après moi, un voyage est positif lorsqu’on en revient enrichi. J’ai appris beaucoup de choses sur l’Asie et plus précisément sur l’Indonésie, c’est exactement ce que je venais chercher. Je peux maintenant profiter de ne plus rien faire à part profiter des vagues et du surf !
Avant de louer une planche et d’aller surfer, je décide de me promener un moment sur la plage et de prendre quelques photos de ce lieu paradisiaque.
Je finis par louer une planche et surfer jusqu’au coucher de soleil. Une fois de retour sur la plage quelques heures plus tard, je me prends une bière, me pose sur la plage et contemple les étoiles. Enfin le repos absolu.
Le soir, je mange à l’hôtel et je rencontre un Français super sympa qui vient d’arriver. Il s’appelle Julien et il est prof de surf vers Belle île au nord de la France. On décide d’aller visiter le temple d’Uluwatu et d’aller rider ensemble le lendemain.
Vendredi, matinée surf et visite du temple d’Uluwatu
Le vendredi matin, on se lève pour aller profiter des quelques vagues du matin. L’après-midi, direction tout au sud de l’île pour aller visiter le temple d’Uluwatu et d’y voir la danse Kecak au coucher de soleil.
Ce temple a aussi la particularité d’y abriter un grand nombre de singes sauvages. Il faut réellement faire attention à ses affaires, car ces primates ont tendance à voler tout ce qu’ils peuvent voler !
Le soleil commence à se coucher et la danse Kecak va débuter. Cette danse raconte une histoire liée à la religion hindoue. Ce spectacle est dépourvu d’accompagnement instrumental. Les chanteurs du chœur qui sont assis par terre en rond chantent de manière ininterrompue « chak-a-chak-a-chak » et font des mouvements synchronisés durant tout le spectacle.
Personnellement, j’ai trouvé ce spectacle tellement inintéressant, que j’ai préféré me retourner et contempler le coucher de soleil sur le temple d’Uluwatu qui était, pour sa part, saisissant.
Le soir, avec Julien, on décide de se faire plaisir et de descendre au bord de la mer pour s’envoyer un réel festin de poissons frais du jour.